Hell's City
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 G. Seiken. Démone.

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Geika Seiken
Démon contre -
Démon contre -
Geika Seiken


Messages : 5
Date d'inscription : 21/06/2011
Age : 32
Localisation : Mmh...

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MessageSujet: G. Seiken. Démone.   G. Seiken. Démone. Icon_minitimeMar 21 Juin - 17:28



Geika A. Seiken. • La vingtaine... • Femme. • Bisexuelle. • Démone. • Rebelle.
.:{ Royal, celui qui domine. }:.
G. Seiken. Démone. 110621071634233488




Caractère physiques

Bring your colours.

Elle n'a pas de couleurs.

Elle est sombre et claire en même temps. Elle est jeune. Elle a l'air, jeune. Seize, Dix-sept ans. Noire et Blanche. Ses cheveux, longs et soyeux, sont semblables à l'ébène. Ses iris impénétrables ne sont que charbon. Une peau, bien que douce et frêle, blafarde. Le tout groupé sur un spectre chaste, discret, invisible. Un petit mètre soixante cinq tout au plus, un poids tenu secret de peur d'en effrayer bon nombre par sa faiblesse. Une poitrine menue, cachée. Ses vêtements ne diffèrent guère des habitudes traditionnelles japonaises. L'uniforme, aux couleurs de l'échiquier. Une chemise d'été, simple, ivoire, relevée par une jupe plissée proche de l'indescence couleur café. une cravate sobre, plus ou moins dénouée, autour du cou. De hautes chaussettes habillent ses jambes tremblantes, nues. Ses chaussures plates ne font qu'embellir ses mollets inexistants. Aucun bijou, si ce n'est un anneau, gris, logé autour de son majeur droit. Aucun atout particulier. Une neutralité à toutes épreuves. Impalpable. Envie. Noire, blanche, grise. Du sang sur la toile vierge. Rouge. Noir. Rouge. Blanc. Gris. Rouge. Rouge...

Geika.

Des cheveux toujours impeccablement soignés, coiffés. Élastiques et pinces, peignes, barrettes, serre-tête, rubans, nœuds. Lisses, bouclés. Bien qu'ils n'aient aucune forme au naturel, ils peuvent en revêtir autant qu'il en existe. Noirs de jais. Frange, mèches. Polyvalence. Toujours longs. Tradition. Cadavre. Exhibe ses os, chair. Phalanges anorexiques. Mélanine enlevée par Morphée, pâleur opaline. Pupilles difformes, iris variés. Miracle de la science. Noirs à l'accoutumée, yeux carmin, jade, lapis-lazuli, améthyste. Ouverts par un trait noir. Symboles aux coins, scandale. Précieux. Parures violées. Richesse, caresse. Entre ses seins, la croix, longue, pendante. Décolleté obscène. Plaisirs. Rouge à lèvres vermeille, sensuel. Ongles courts sous l'aquarelle noire, mauve, sanguine. Bague armure sur son poignet nu. Robe fine, moulante. I'm a Gothic Lolita, you're a CRIMINAL. Luxure. Visage stoïque, préservé des ravages d'une adolescence outrageuse. Peu d'artifice. Aucune poudre utopique. Blancheur naturelle. Voiles volubiles, jamais rassasiés. Jupons. Porte-jarretelles, désirs multiples. Cuisses à vif. Rubans. Ne supporte pas le contact de ses jambes l'une contre l'autre. Sous chaque tenue, un leurre. Mini short, leggins, couverture quelconque. Feint les regards diaboliques. Caméras indiscrètes. Douze centimètres de plus au minimum. Galbe, le mollet parfait. Vêtements chers, précieux, rares. Parfum sucré, fraise. Fruit rouge. Ombrelle et gants tulipes. Lolita Noire. Aphrodisiaque. Froide. Glacée. Aussi ardente que frigorifique. Sac violon, maison. Raz de cou, velours et diamant. Magnificence. Orgueil. Exquise. Princesse d'un autre temps, fatale.

Projet partiellement humain.

À l'instar d'une force inconnue. Un rose pâle mélangé au gris sombre. Féminité calme. Crâne et pentacle. Bracelets de cuir, mitaines. Bustier, mise en valeur du peu d'attributs qui lui sont affublés. Deux jambes dissimulées sous la toile rude d'un pantalon criblés de chaînes. Approche du mouvement punk. Pointes et dard de ferraille. Voix de roches. Métal. Industrielle. New Rock lourdes, à tel point que l'on ignore si elle parvient à les soulever. Des clous dans les oreilles. Un casque vissé autour du cou fardé de trombones engagés les uns dans les autres. L'étoile des exorcistes brandie. Soutien-gorge vulgairement apparent. Nombril frémissant au contact de l'air. Scène de crime. Keep Out. Langue, taillée à l'image d'une stalactite. Vicieuse. Vide. Enfant sereine. Enfin sereine. Sourire radieux. Non, ce n'est pas possible. Elle ne sourit pas. Ne sourit pas. C'est un pli de bouche, un rictus malsain. Une diversion, une tentative de corruption. Menteuse. Affabulatrice. Sereine. Pas fier et droit. Démarche assurée. Regard gelé, volcanique. Il n'y a que seule qu'elle resplendit. IL n'y a que seule qu'elle se plait. Spirituelle. Le jour se couche pour éteindre le monde, elle devient corbeau. Présence dérangeante, dans une rue. Humaine. Charbonneux poignant, prunelles aussi blanche que son fond. Pas d'yeux. Insomniaque. Les lumières la font surgir des ténèbres. Arcade. Sous les néons agressifs. Ce sont ses calvaires, elle les déteste. Zombies. Quelques pièces insérées dans la fente, gauche. Écran allumé. S'empare du gun face à elle, pose ses doigts sur la gâchette. Rit sous les crânes qui explosent. S'étonne de sa puissance. Toutes les belles choses qui l'entoure. Colère. Recharge. Toute la haine qui l'incarne.

Juvénile.

Ses racines poussent. Ses cheveux s'allongent. Elle a toujours été blonde, comme son père. Il n'a pourtant jamais souhaité la voir doté d'une pareille teinte. Égoïste. Elle a donc usé de toutes sortes d'artifices, les couleurs. Noire. Les géniteurs la trouvaient resplendissante, ainsi. Ils aimaient les robes, ils lui en offrirent trop. À cet âge, elle adorait le jaune. C'était la couleur du soleil. Elle aimait le bleu. C'était la couleur de la pluie. Mais la couleur qu'elle aimait le plus, c'était la couleur de la neige. Elle adorait les kimonos. Elle en mettait souvent. Elle aimait ne faire qu'un avec sa peau. Un spectre. Un fantôme. Elle n'avait encore jamais vu la neige. Lisait déjà abondamment. Suffisamment pour la créer quand elle le voulait. Personnalité imaginative. Elle avait peur des arrêts cardiaques. Alors elle ne portait rien de trop grand ou de trop juste. Que son cœur soit toujours à portée de main. Des petites chaussures. Pas de talons. Elle tombait, sinon. Elle riait. Elle souriait à pleines dents. Des collants. Beaucoup de collants. Des motifs. Autour du cou, une chaîne d'argent avec un papillon comme pendentif. Un cadeau. Un regard éveillé. Une curiosité puérile. Souvent, elle allait cueillir des fleurs pour orner ses oreilles. Ses favorites étaient les narcisses. Elle grimpait aux arbres, aussi. Se retrouvait avec toutes sortes de feuilles, de brindilles, emmêlées dans sa crinière. Il n'y avait que dans les arbres qu'elle pouvait porter ses divines sucreries sans aucune impunité. Gourmandise. Elle n'était bien que seule. Avarice. Et elle laissait sa petite jambe pendre dans le vide. Sereine.

Fausse.

Ses jambes se balançaient d'avant en arrière. Par quel miracle, la coupe de thé ne tremblait qu'à peine, ne se renversait pas. Son kimono remplaçait les fleurs de cette étendue stérile de toute vie. Rien qu'un jeu pour enfant, une balançoire. Atemporelle. La noirceur dans toute sa splendeur. Il n'y avait que de la sorte qu'elle semblait vivante. La tasse brûlait entre ses articulations rendues atrophiées. Elle tenait son scalpel entre les lèvres. La pâleur de de la poudre qui recouvrait son visage parsemé d'éclats du Carmin. Le Carmin. [DETRUIRE!] Son regard fendit la beauté du ciel. Les pétales rosés n'arrêtèrent leur farandole qu'au moment où le zéphyr décida de stopper leur ritournelle incessante. Ils trouvèrent leur place sur le parterre immaculé [SOUILLURE!] que formait la neige à ses pieds. La douceur de ce vin printanier se mélangea avec la sensualité d'un primeur au bordeaux profond. Âcre. Les fleurs sur les torses ne cessaient de croître. Et elle, souveraine, se délectait de leur lente agonie. Ses yeux reptiliens se plongèrent dans la coupe de ce qui aurait du être du saké. Ils étaient jaunes. Radioactivement jaunes. Et le thé n'avait pas la couleur du thé. Il était étrangement noir. Comme le sang des artères principales. Celles qui sont les plus vulnérables aux lames. Elle y plongea le reflet tranchant, remua le tout. C'était parfait. La tasse termina sa servitude sur le sol. [BRISEE!] Répandant ainsi son contenu sur la pureté incarnée. La balançoire oscilla, désormais seule. Seule. Cette coïncidence n'arrivera jamais. Rouge. Mutilé. Ces désirs teintés par leur contenu gastrique. Leurs râles insupportables. Il les fallait frais. Si seulement. Le premier cadavre sur lequel elle tomba fut celui d'un enfant. À genoux, les organes affluant jusqu'à ses poignets habiles. Son cœur, une fois prit en main, ne battait plus.
Brisée, brisée. Cela n'est-il pas suffisant? Non, ça n'l'est pas! Mes pulsions destructrices ne se taisent pas. Fragiles, fragiles, les humains sont fragiles! Après tout, un être isolé n'est qu'une machine à tuer. Et je me suis demandé pourquoi ai-je été créée.
Brisée, brisée. Pour tout éliminer... Le comportement destructeur pour faire disparaître, disparaître, disparaître le mal qui ronge cette terre. Après tout, je ne suis qu'un rebut. Et je me suis demandé pourquoi l'on m'utilisait.


Chroniques de l'esthétique.


Les trousses ne débordaient pas. Elle se contentait du nécessaire. Une crème hydratante, un soin pour le visage. À l'abri sous les néons, son épiderme luit d'un étrange reflet orangé. Ses iris essuient l'assaut d'un plastique humide, qui vient se loger sur eux. Regard saphir. Les paupières se fardent d'un turquoise élégant, réajusté avec un blanc cassé. Le liner esquisse d'étranges courbes par-dessus. Effet tigré. Le teint parfait, les yeux clos sublimés. À l'intérieur, un trait ébène. Aux extrémités, deux fins segments libéraux s'échappaient. Et quelques originalités au coin du dextre. Une croix banale, quelques gouttes futiles. Regard bestial. Fixation sur le visage oblige. Il ne reste que la bouche. Un vulgaire contour dessiné au crayon neige, la poudre se chargerait de les épaissir un peu plus. Le rouge fut lapis-lazuli. Elle en appliqua véritablement trop, ne trouva pas cela suffisant. La couleur chaude de cette salle de bain semblait fausser le jugement. Solitaire, la cigarette réclama un peu d'attention. Ses doigts peints l'arrachent au cendrier, la porte aux lèvres gourmandes. Inspiration. Au tour de la tignasse. La belle la releva à l'aide de ses avant-bras, commença à l'entretenir. Elle bailla. Fatigue précoce. La clope, toujours dans la bouche, tomba. Elle jura. Les autres, à ses côtés, la mirèrent avec un dégoût profond. Elle ne s'en rendit même pas compte, ruinée d'avoir gaspillé un malheureux cylindre qui valait une telle fortune. Sa chemisette l'étouffait, mais mettait en valeur une poitrine quasiment inexistante. Attirer le regard ailleurs que sur son sarouel. Un sarouel. Ce n'était guère à son goût, cependant très, très utile dans ce genre de circonstances. Dans une rave, il faut acheter ses boissons. Sauf que les bières des raves valent la moitié d'un salaire moyen. Et bien évidemment, en rave, il est hors de question d'y rentrer si l'on a en sa possession rien qu'une bouteille d'eau. Le sarouel résout ce problème. La grande majorité des raves possèdent des videurs. Pas de "videuses". Ils n'ont aucunement le droit de fouiller les femmes, question de principe. Et pour un peu que ladite femme soit joliment constituée, son tampon sur la main, elle l'obtient à quelque chose près gratuitement. Présentation des atouts, fraude. Sous le sarouel, une fine lanière de cuir nouée autour de la taille et bardée de crochets. Très pratique pour accrocher tous types de bouteilles. Autour des cuisses, d'autres attaches du même genre. Ses cheveux furent fin prêts. Elle ferma son étui à maquillage, claqua la porte en sortant.

Apologie.

Femme-sang. Rongée par le démon en elle. [SORTEZ MOI DE LÀ!] Séquestrée, dévorée à froid. Sa pâleur rougissante, ses phalanges se recouvrent du liquide intra-veineux. Rouge. Si elle n'a aucune rides, radieuse dans sa flamme, elle doit exister depuis des centaine d'années. Femme hémoglobine. Douleur affreuse dans le dos. Omoplates écartelés. Deux os lui arrachent son corps chaste. Enduit des composants du corps humain. Grelots aux pointes dorsales. Voile carmin ne lui permettant que de planer sous cette forme maudite. La peau fond, son squelette apparait. La composent. Ronces l'agrippant. La saignent. Elle nage dans sa propre vie. Cage. Autour de ses hanches, grillages. Talons hauts. Squelette. Le tout ensanglanté. L'incarnation de l'hémoglobine. Laquelle est la vraie?
G. Seiken. Démone. 10
Caractère Psychologique

Elle est là, sans être présente.

Il y a quelque chose qui ne va pas, chez elle, dans son regard, dans ses expressions, dans ses mots, et dans ses gestes. Ils peuvent changer du tout au tout, comme ça, paf! Cela sans aucune raison en plus. Mais... peu importe ce qu’ils sont, ils sont toujours particuliers. Son regard ne dit rien, pourtant, il dit trop de choses. C’est un regard meurtrier, qui dit qu’il ne faut pas s’approcher. En même temps, elle est très calme, toujours très posée. Toujours. C’est un regard vide, morne, tout en étant dangereux. Ou bien calme, mais sévère. Et jamais elle ne baisse les yeux si on la prend au défi. Par contre, si elle s’en contre fiche, elle ne lèvera pas la tête pour vous regarder. Hum... Elle est multiple en fait. Elle est plusieurs. Elle est tout, et elle est une. Elle est là sans l’être puisqu’il y a toujours quelqu’un à sa place. Où es-ce qu’elle est alors, elle? Hum... ailleurs. Quelque part, perdu dans son monde. Quelque part dans une de ses pages vierges. Ouais ça, j’ai jamais réussi à piger! Elle lit toujours son bouquin mais... Il est vide. Y’a rien dedans! C’est... trop bizarre. Ça fait flipper. Ses comportements font flipper. Me font flipper d’accord... On. En fait. Ouais, on dirait qu’il y a une présence qui l’enveloppe. Une aura sombre, un truc qui sent pas bon. Mais sans pour autant être mauvais. Juste... quelque chose de... différent. Quelque chose qui émane d’elle et qui ne devrait pas être là. Quelque chose qui n’est pas d’elle en fait. Qui vient d’ailleurs, et qui l’entoure toujours. Ou alors, c’est seulement parce qu’elle a l’air... Si grande. Grande alors qu’elle ne l’est pas. Forte alors qu’elle est fragile. Vous voyez? Non, vous voyez pas... Mmh... Imaginez un gosse de maternelle qui parle comme un dictateur le ferait dans ses discours. Bah voilà, vous avez Gei... Seiken.
C’est ça! Elle a grandit trop vite. Elle a pensé trop tôt à des choses auxquelles une enfant ne devrait pas avoir à penser. Ne devrait pas en être capable, pas assez mature pour, pas assez réfléchi. Alors, bien sûr, ça a dû trop tourner dans sa petite tête. Et, elle ne sait plus où elle en est... Enfin, c’est ma vision des choses ça. Si il faut, oui si il faut...! Si il faut, c’est juste un jeu. Une véritable gamine cette fois, qui s’amuse. Et qui joue sur tous les plans. Capable de mimer la moindre émotion, et d'en faire ce qu‘elle veut. Capable de donner de l’effroi, ou bien alors, de l’admiration. C’est un peu l’effet que ça me fait quand je la vois. Ouais, c’est un peu un mélange des deux. Aaaaah mais... au final... Au final je ne sais pas... Je ne sais pas qui est Geika.

Geika, c’est quelqu’un qui ne parle jamais. Qui va à l’essentiel, toujours tranchante, qui ne perd pas son temps pour rien, parce qu’elle sait où elle veut en venir. Mais il y a ces fois où elle ne s’arrête pas de parler. Ces fois où elle se moque même d’être écoutée. Elle n’est pas hautaine, ou même méprisante, non, elle vit, c’est tout. Elle fait ce qu’elle veut et ne se laisse pas marcher sur les pieds. Et puis... désobéir... c’est si tentant pour elle. C’est quelque chose qui lui procure du plaisir. À l’orphelinat, elle n’écoutait jamais les adultes. Vraiment une sale gosse. Mah ze l’admiraaaaaais. Et, je... je suppose qu’aujourd’hui ça n’a pas changé. C’est quelqu’un de têtu, après tout, et de sournois. On retrouve là la simple gamine. Mais, peut-être que cela va plus loin encore. Peut-être que, si elle brave les interdits, c’est parce qu’elle en a besoin. Besoin pour se sentir en vie. Pour savoir qui elle est, qu’elle suit bien ses envies à elle. Et, si elle a envie de quelque chose, pour sûr, elle l’obtiendra. Forte et fière, elle ne baisse jamais les bras. Elle ne s’avoue jamais vaincue, non, elle gagne toujours. Et, quand elle ne parvient vraiment pas à un objectif, elle devient folle. Vraiment...! Elle s’énerve vite et elle s'acharne contre les malheureux qui sont (ou alors carrément pas en fait) coupables de son échec. Ça l’éveille en quelque sorte, de laisser place à la colère. Ça la sort de son monde. Mais... ouais, ça fait peur une Geika énervée...!
Après, c’est quelqu’un qui avance et qui sait vers quoi. Elle est loin d’être stupide. Amorale parfois, mais pas stupide. Elle sait ce qu’elle fait. C’est quelqu’un qui fait des efforts pour progresser, malgré les apparences. Et sinon... hum... Non, je ne sais pas. Je ne sais pas qui elle est. Je sais juste qu’elle est là. Et qu’elle est plusieurs.


Histoire

Vingt neuf Février. Alors qu'elle aurait pu déclencher les contractions dans un lit, Madame choisit ce garage miséreux. La petite vit la nuit durant laquelle sa mère avait abattu deux prostituées qui les espionnaient. Madame n'a jamais été du genre à se laisser faire. Quelques heures suffirent au père à les rejoindre. Ils rentrèrent chez eux, et retournèrent à leurs occupations.
Madame n'avait pas de prénom. On l'appelait Madame, dans son château. Elle avait passé toute sa vie à changer d'identité. Anju, Angelika, Abelia, Amaury, Amarrylis, Amber, Ael, rien n'y fit. Monsieur, lui, semblait plus posé. Victorian Seiken avait offert la richesse et l'oisiveté à sa femme en lui passant un anneau de ferraille au doigt. Il était l'héritier d'une grande chaîne de fabrication automobile et un violoniste de renommée. Madame semblait exceller dans l'art du dessin de stylisme, mais avait cessé toute activité dès l'instant où elle avait revêtu sa robe de mariage vermeille. Les amants Seiken menaient une vie de roi. Monsieur et Madame Seiken s'étaient rencontrés dans l'asile psychiatrique de Desprial. Lui avait assassiné nombre d'inconnus à ses yeux pour les leur dévorer, elle avait jouit à la manière de la comtesse Elizabeth Bathory en remplaçant toutes sortes de liquides par le sang des vierges qu'elle saignait. Ce fut le coup de cœur. Ils apprirent à mentir, si bien qu'eux-même étaient persuadés qu'ils avaient changé. Illusion. Personne ne les vit s'embrasser, à l'Église. Question de rituel. C'est dans cette atmosphère qu'ils regagnèrent la vie quotidienne. Trop surveillés pour être freelance, ils devinrent tueurs à gages. Ils vécurent heureux. C'est ainsi que naquit leur fille unique. Ils l'aimèrent à en mourir, étaient des parents extraordinaires. Si son père se faisait discret, sa mère la choyait à n'en plus finir. Et Geika grandit comme cela. Des parents aimants, le goût du sang dès qu'ils rentraient le soir. Le violon de son père, les esquisses avortées de sa mère. Le château, les robes. Une vie de princesse. Et jamais ils ne l'initièrent à leur passion. Jamais. Geika grandit loin de tout cela. Le plus loin possible. Parce qu'ils étaient lucides, quelque part. Père et Mère ne souhaitèrent à aucun moment lui faire connaitre cet enfer. Ô grand jamais.
Elle eut cinq ans, avait demandé un scalpel et un cahier à la couverture noire de jais. Elle eu le cahier sans soucis, quant à l'arme, elle l'eut cadenassé. Mère lui avait susurré de ne l'ouvrir que lorsqu'elle en aurait réellement besoin.
Elle commença à se poser des questions. Elle tombait, souvent, à force de grimper aux arbres. Mais ses blessures ne saignaient qu'à peine. Mère lui dit alors qu'elle aimait Satan, et que lorsqu'elle avait fait l'amour avec Père, elle avait hurlé son nom à plusieurs reprises. Il était donc fort probable que la petite fille soit un démon. Geika n'avait aucune idée de qui Satan pouvait être, et s'en foutait pas mal.
La pseudo démone n'aimait pas les peluches. Lorsqu'on lui en offrit une, elle la dépeça à même les dents. Les aînés Seiken surent qu'elle n'échapperait pas à son destin. Héroïne tragique.
Une ballade, quoi de plus normal. Père, Mère, Fille. Et deux yeux malsains scrutant le trio infernal. Lorsqu'elle se dressa sur ses jambes, le commissaire Kusoda Mirumi se dirigea vers eux, immobiles. Elle les menotta, les conduit hors du parc. Ils ne se défendirent pas. Hurlèrent à leur progéniture que tout irait bien. Tout irait pour le mieux. Geika resta là. Les regarda partir. Le gyrophare se mit en route. Il leur fallut trois secondes pour parvenir jusqu'au feu rouge, la Subaru roulait alors à cinquante deux kilomètres/heure. Trop vite. Trop loin. Et elle ne bougea pas. Pendant des heures.
L'orphelinat Grace était déjà en surnombre quand elle arriva. Les gens la trouvaient bizarre. Bizarre. Mais malgré son étrangeté palpable, elle gardait le sourire. Après tout, tout irait bien. C'est ce que lui avait dit Mère.
Jusqu'à un soir. Un soir où la chaîne nationale déclara le réseau de tueurs à gages Evilishs démantelé et les deux tireurs d'élite du groupe, les Seiken, abattus.
Geika n'avait plus jamais sourit depuis ce soir.
Elle y rencontra le tigre. Elle l'appelait comme ça parce qu'il avait l'air d'un tigre. Elle y rencontra le papillon, aussi. Parce qu'il ressemblait à un papillon. Ce fut lui qui partit en premier. Il trouva une famille qui l'emmena vivre au Japon. Et pour sauver le tigre, elle commit son premier meurtre. Ses trois premiers meurtres. Il n'y avait que les corps. Pas de sang. Elle ne savait même pas comment elle avait réussi à les défigurer de la sorte. Elle sortit de la salle de bain dans laquelle elle les avait éventré, et invita le tigre à se baigner. Tout irait très bien.
On l'envoya à Dreamy. L'hôpital psychiatrique le plus proche. Elle y resta un mois, dont vingt jours dans la salle isolée. La salle vide. À sa sortie, elle mentit à la perfection, et on la renvoya à Grace.
Les Freyen furent ceux qui se risquèrent à l'élever. Ils renoncèrent bien vite. Les Hannya après eux surent la canaliser pendant un temps. Mais ce fut avec les Yorisko qu'elle rouva sa voie. Ils parlaient, à table, du réseau Evilishs, mort il y a de cela cinq ans. Elle entendit le nom Kuroda. Et elle les entendit rire de ces débauchés fous qui n'avaient que mériter leur pitoyable sort. Eux aussi, avaient mérité le sort que Geika leur infligea. Pis encore, le sang ne l'intéressait pas. Ce qui la fascinait, c'était les organes. Pour ne pas user du scalpel, elle se servit d'un couteau. Quatre cobayes pour ses premières expériences, ce n'était que fantastique. Il fallait retrouver Kuroda. Venger les Seiken. Il fallait la trouver, et la tuer. Tuer tous ceux qui se mettraient en travers de sa route, tout ceux qui étaient en lien direct ou pas avec les ennemis de ce réseau. Des Seiken.
Elle voulut devenir chirurgien pour pouvoir "opérer" légalement. Des rapports psychologiques le lui interdisaient. Elle en devint folle.
Geika enferma Geika dans une cage d'or, en elle. Il ne faudrait plus jamais la laisser sortir, et tout irait bien.
Elle fêta son quinzième anniversaire chez les Oeillet, qui avait invité les Van Callyss. Ils avait un fils. Ael. Ael. Comme Madame. Autour de la table de billard, ils se défiaient. Partie nulle. Pas tout à fait. Les Van Callyss avaient fait partie de Evilishs. Ils étaient à présent freelance. Ael aussi.
Elle fut enlevé par une famille Norvégienne après le tragique décès des Oeillet dans un crash d'avion. Les Winter. Dans la famille cohabitaient le père, la mère, et la fille. Eilinel. C'était un prénom à connotation elfique, à ce qui parait. Merveilleux. Elle et Geika étaient du même âge, étaient faites pour s'entendre. Sauf que Geika voulut la tuer, après qu'elle ait touché son cahier noir. Crime. L'étouffer serait digne d'elle. Les parents entrèrent dans la chambre et la chassèrent. Elle ne les laissa en vie que pour Eilinel. Perdre des parents, c'était cruel.
Un peu plus tôt, elle avait retrouvé le tigre, au lycée. Mais c'était un secret.
Et Seiken vagabonda. Se procurer des armes à feu était ridiculement facile. Les utiliser l'était encore plus. L'ancien chef des Evilishs était mort. Pas le flic chargé de l'enquête. Bang. Les flics sur l'affaire. Bang. Les scientifiques. Bang. Et finalement, Kuroda. Bang. Bang-bang. Bang. Bang. Bang-bang-bang-bang-bang.
Geika menaçait de sortir à tout instant. Elle était trop niaise, trop gentille. Alors Geika l'enfermait et la torturait. Il n'y avait que de cette façon que l'on pouvait la contenir. Et comme cela, tout irait bien.
Il ne restait plus que les médecins pourris qui l'avaient empêché de continuer sa médecine. Qui avait laisser mourir les membres de Evilishs. La mère d'Ael venait de succomber à sa maladie, selon eux. Non. Ael n'avait pas supporté de la voir dans un tel état. C'est si facile, de débrancher les gens. Ils ne tiennent vraiment qu'à un fil. Il fallait leur faire comprendre leur cruauté. Leur idiotie. Leur négligence. Le docteur Willias était un éminent chirurgien originaire d'Ecosse. Il la prit sous son aile dès qu'il entendit son nom. Seiken. Comme les criminels tués après la chute des Evilishs. Le groupe dont Daniel Georg Willias était le co-fondateur. Il la fit entrer à l'hôpital comme stagiaire, interne en médecine chirurgicale. C'est là qu'elle ouvrit le cadenas. Pour buter cet enfoiré de Gregory Ennecy. La balance du groupe, la taupe. À l'époque, le mari de madame Oeillet, dont la valise était blindée d'explosifs que l'on fit sauter une fois dans l'avion. C'était grâce à elle qu'elle avait pu découvrir ce qu'il était devenu. Tout est lié, dans les réseau de meurtres. Tout est lié, toujours.
Sauf qu'elle avait été filmé, ce jour-là. Elle était recherché par Interpol. Quelques affiches avaient été placardées contre les murs. Ils avaient son nom, son visage. Mais il l'avait blonde. Alors elle arracha toutes ces affiches. Une par une.
Geika se faisait de plus en plus puissante. Mais tout irait pour le mieux.

Spoiler:

Heley. Une ville tranquille. Elle y avait trouvé refuge depuis trois ans. Aucun problème. Tout allait bien.

Faute d'accéder au titre de chirurgien, elle parvint à celui de psychologue. Sous un faux nom, une fausse identité. Parce que le mental n'y est pas. Elle a beau être brillante, les séquelles phychiques sont indélébiles. Puis, ce n'est pas comme si Seiken était parfaitement saine d'esprit. Et ça, elle le savait déjà.
Hell City. Décidément, ces coins de la planète n'étaient pas les plus accueillants. Ils se ressemblaient, quelque part. Interpol s'était calmé. Méfaits accomplis, vengeance assouvie. Le sceptre et l'hermine lui revenait de plein droit. Il fallait se tenir à carreaux pendant quelques temps. Et tout irait bien. Pour le mieux. Tout irait bien. Absolument tout.


    Famille: Plus personne, à présent.
    Objet(s) Fétiche(s): Le scalpel et le cahier.
    Autre chose:

    Profession : Psychologue.
    Péché : Si possible, Luxure. Parce qu'elle est étrange, physiquement. Et qu'elle aime le sexe.

    Passions / loisirs : Lire. En premier lieu. Elle lit, toujours. Il est extrêmement rare, voire impossible, de la voir sans un livre à la main ou quelque part sur elle. Elle est aussi fanatique des cheveux, et adore en prendre soin. De même, Seiken prend le temps d'esquisser quelques traits sur format raisin lorsqu'il ne s'agit pas d'aquarelle. Autodidacte, cela ne l'empêche pas vraiment d'être douée. Elle apprécie aussi la télévision et le cinéma. C'est une vraie mine de culture. Un de ses passes-temps favoris, mis à part tout cela, est la musique. Bien qu'elle ne joue d'aucun instrument, jugeant son niveau et sa patience inssufisants, elle se tente au chant dès qu'elle entend des paroles famillières. Côté judebox, elle n'est pas difficile. Elle écoute de tout. Du classique au rock, en passant par le reggea, la tribe ou le jazz. N'importe quoi. Un autre vice caché est celui des jeux d'argent. Non pas fascinée par ce genre d'activités, ce que Seiken aime, c'est le fait de pouvoir perdre un élément précieux en quelques secondes. Adepte du poker, du black jack et autres jeux de ce genre, elle n'est pas spécialement talentueuse pour cela et souvent ne perd rien et ne gagne rien. Cependant, elle se débrouille très bien sur une table de billard. Enfin, activité peu sérieuse mais plaisante : les jeux vidéo en tous genres.

    Phobie / cauchemar : Ablutophobe et graphophobe. Mais le pire serait de retourner là-bas. Dans la salle vide.

    Manies : Vraiment trop pour toutes les citer. En voilà un résumé.

    - Elle préfère mille fois être appellée par son nom. D'ailleurs, elle ne sait pas à quoi correspond le -A de son prénom.
    - On ne sait pas réellement d'où elle vient. Toutefois, son accent provient des royaumes de l'Est. Europe, Eurasie, dans les parages.
    - Droitière. Cependant, avec un entraînement rigoureux, Seiken a réussi à devenir ambidextre, et de ce fait, a formé sa main gauche à devenir la principale.
    - Lorsqu'elle joue au billard, elle tient sa queue de la main gauche, et tire légèrement vers le haut. Une technique étrange, mais qui porte ses fruits.
    - Plante toujours un couteau dans la viande avant de la découper.
    - Ne tient jamais le pommeau de douche pour se laver.
    - En plus de se ronger l'ongle du majeur droit, elle mange la peau de tous ses doigts.
    - Elle refait sa couleur tous les Jeudi soirs, à neuf heures moins cinq.
    - Le premier geste qu'elle fait le matin, c'est de manger une fraise. Toujours. Même avant d'arrêter le réveil.
    - D'ailleurs, pour manger un fruit, elle l'entaille à peine, mange l'intérieur, et jette la peau.
    - Avoir les mains mouillées ou sales la dégoûte, et elle peut devenir violente si jamais elle ne se sent pas à l'aise.
    - Elle ne supporte pas la vue de ses orteils, ne met jamais de chaussures ouvertes.
    - Son ombrelle est remplie de pétales de roses, frais ou séchés.
    - Son parapluie a pour pommeau une tête de canard. Cette précision est importante dans la mesure où elle ne le tient que par le bec, et qu'elle ne peut tenir aucun autre manche de parapluie.
    - Avant d'ouvrir un livre, elle le tient à l'envers.
    - Pour toucher le lobe de son oreille(gauche/droite), Seiken utilise la main inverse(droite/gauche).
    - Elle ne supporte pas de traverser la route sur les passages piétons.
    - Les mots à treize lettres lui plaisent tellement qu'elle les utilise pour nommer ses scalpels.
    - Dès qu'elle croise un ou une inconnu(e), qu'il vienne lui parler ou pas, Seiken est obligée de s'imaginer une scène érotique, voire même perverse, avec lui/elle.
    - Sans doute le plus gênant et le plus brutal, Seiken a une fâcheuse tendance à devenir violente sans contexte apparent.
    - Si on lui offre des fleurs, le bouquet ne doit avoir aucun pétale disgrâcieux.
    - Elle compte tout, tout le temps. En général, les calculs sont simples, mais elle ne s'arrête jamais de compter.
    - Lorsqu'elle veut avoir un coup de téléphone précis, elle pose le combiné devant elle, s'asseoit, et dans le plus parfait silence compte jusqu'à dix. Au bout du compte, le téléphone est sencé sonner. Mais cela n'est jamais arrivé, puisqu'il n'y avait jamais le silence total.
    - Dès qu'elle se retrouve seule dans un couloir, elle est obligée de le traverser en courant.
    - Depuis son plus jeune âge, Geika a toujours porté les cheveux longs. Elle refusera toujours de les couper de trop. Elle est très légèrement fanatique des cheveux et y voue un véritable culte.
    - Seiken est littéralement fascinée par ce qui rebondit et balançent. De ce fait, elle adore les bouliers de Newton, les balançoires...
    - Si elle cherche à tous pris à préserver le corps des autres, elle se fiche pas mal du sien. C'est une fumeuse, une buveuse, et aussi parfois une droguée. Et aussi étonnant que cela soit, elle n'est dépendante à rien de tout cela.
    - Si la télévision ne la fascine pas, les dessins animés et films d'animation sont une voie d'avenir.
    - Elle s'est inventé sa propre religion. Ainsi, Seiken est édeneiste, et a juré allégence à une démone très ancienne répondant au nom d'Eden Ael'Dha qui serait à l'origine des puissances démoniaques à leur apogée et l'incarnation des sept vertues et péchés capitaux. Par la même occasion et selon l'imagination de la jeune fille, Eden en disparaissant (car elle ne peut pas mourir, mais s'exiler loin de la Terre) a offert à plusieurs femmes terriennes un de ses attributs, ce qui correspondrait à une pseudo réincarnation. De ce fait, Geika est persuadée d'avoir hérité du péché de l'Envie et de l'art du meurtre de sa divinité. Personne ne connait l'existance de cette fausse religion, puisqu'elle n'en a jamais parlé.

    Pouvoirs :

    Le don de Seiken n'est autre que la sanguimancie. La maîtrise du sang. Pouvoir redoutable, puisqu'il suffit d'imaginer l'hémoglobine circuler, de plus en plus vite, pour faire céder les vaisseaux, créer l'hémoragie interne et achever sa victime. Il permet aussi de nettoyer les scènes de crime trop colorées en un tour de main et sans laisser de traces. Bien utilisé, le don s'avère très utile. Toutefois, Seiken ne sait pas vraiment l'utiliser.


    Comment avez-vous connu le forum ?: Je ne suis rien de plus qu'une gentille fille inconnue qui a reçu une demande de partenariat de chez vous. Je suis une jeune fille polie.
    Pourquoi êtes-vous inscrit ?: J'l'ignore.
    Autre chose à nous dire ? Que le tout petit carré pour les descriptions et l'histoire, c'est certes propre, mais galère quand on fait des millions de pages. Ah oui, et aussi. C'est pas parce que Geika est une psychopathe serial-killer qu'elle ne sait pas se calmer. Maintenant que la vengeance est terminée, elle n'a plus de raison de tuer. Elle est calme, vous en faites pas. J'espère que cela ne posera pas trop de problèmes.
    Avez-vous lu le règlement ?: Bien sûr que non.
    Alors quel en est le code ?: Y'a une faute à la question. Six grains de riz par jour? Ben on ira pas loin, avec ça.


Dernière édition par Geika Seiken le Mar 21 Juin - 18:13, édité 1 fois
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Daisuke Masatori
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MessageSujet: Re: G. Seiken. Démone.   G. Seiken. Démone. Icon_minitimeMar 21 Juin - 18:12

    Fwouaaaaah °°

    J'ai tout lu jusqu'au bout %D *fier et fatigué xD*

    Je te valide avec plaisir pour cette superbe fiche !
    En espérant que tu te plaises parmi nous =3
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Geika Seiken
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MessageSujet: Re: G. Seiken. Démone.   G. Seiken. Démone. Icon_minitimeMar 21 Juin - 18:18

Merci, Daisuke!
Encore mieux, merci d'avoir eu la patience de tout lire...
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MessageSujet: Re: G. Seiken. Démone.   G. Seiken. Démone. Icon_minitimeMar 21 Juin - 21:21

Yopah !

Voilà ! Viens de finir de lire, j'adore tout simplement *w*
Et re-bienvenue =D
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MessageSujet: Re: G. Seiken. Démone.   G. Seiken. Démone. Icon_minitimeMar 21 Juin - 21:37

De même, merci Keisuke! C'est gentil ♥
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MessageSujet: Re: G. Seiken. Démone.   G. Seiken. Démone. Icon_minitime

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